Conclusion
La filière photovoltaïque surfe sur la vague “écologique” actuelle qui semble perdurer. La France peut combler son retard et devenir un acteur important que ce soit dans la production d’électricité photovoltaïque dans les DOM dont la situation géographique et l’état du réseau sont « favorables » ou en métropole. Des emplois peuvent être créés et des marchés sont à saisir.
L’état français dans le cadre plus général de ses engagements européens voire mondiaux (Kyoto) soutient la filière par une politique volontariste récente : les incitations financières ou les crédits d’impôts sont maintenant à la hauteur des aides apportées par les états les plus engagés ou les plus avancés. Mais le chemin à parcourir pour rattraper les leaders de la filière reste important.
Des progrès restent notamment à faire dans le domaine de la recherche :
- amélioration du rendement
- amélioration de la fiabilité
- baisse des coûts.
C’est un enjeu pour l’avenir.
A report issued jointly today by Greenpeace and the European Photovoltaic Industry Association (EPIA), forecasts a bright future for the solar power industry. “Solar Generation 2007”(1) outlines the industry’s steep growth forecasting a potential generate €300 billion annually, by 2030, creating 6.5 million jobs and meeting 9.4% (2) of the world’s electricity demand. It highlights benefits to provide power to 2.9 billion people living in developing countries. The study provides a blueprint for achieving these goals.
EPIA, Greenpeace. World's future is bright with solar electricity [en ligne] 2007.
2 p. Disponible sur <http://www2.epia.org/documents/PR_070904_SolarGeneration4.pdf> (Consulté le 28/12/2007)